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1 Format Télévision
Titre de l'émission MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
Titre du segmentLa Crise d'octobre
Date de création 2000-10-10
Durée du segment00:50:24
InvitésTetley William, politicologue, ancien ministre du gouvernement Bourassa ; Ryan Claude, journaliste, ancien directeur du journal "Le Devoir" ; Lalonde Marc, politicologue, ancien chef de cabinet de Pierre Elliott Trudeau ; Lemieux Robert, ancien avocat des felquistes
ArtisansMaisonneuve Pierre, journaliste, animateur ; Mathon Gérald, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDès le début de la Crise d'octobre, deux thèses étaient soulevées: négocier ou ne pas négocier avec le FLQ. Marc Lalonde et Pierre Elliott Trudeau favorisaient la ligne dure, alors que Claude Ryan et René Lévesque favorisaient la négociation. Les invités élaborent sur cette possibilité de négocier ou non et justifient leur position respective. Marc Lalonde indique que céder au chantage n'arrête pas le terrorisme alors que Claude Ryan rappelle que la crise s'est tout de même terminée par une négociation alors qu'on a envoyé des gens en exil. Robert Lemieux rappelle que deux personnes avaient été enlevées, soit Pierre Laporte et James Cross, et qu'il y avait eu des négociations. Puis, ce fut l'arrêt des négociations alors qu'on ne voulait pas laisser partir quelques personnes en exil. Après 30 ans, Marc Lalonde et Claude Ryan sont convaincus que leurs positions à l'époque étaient les bonnes malgré qu'elles étaient diamétralement opposées. Claude Ryan affirme que le gouvernement Bourassa donnait l'impression d'un gouvernement faible à l'époque. Marc Lalonde considère comme irrersponsable la pétition signée par 16 des plus influents leaders intellectuels du Québec à l'époque, de Claude Ryan aux centrales syndicales en passant par le mouvement Desjardins, étant donné qu'on demandait la libération de prisonniers politiques. Claude Ryan indique que le but de cette pétition était d'éviter les mesures draconiennes des mesures de guerre. C'est par la suite que la Loi sur les mesures de guerre a été proclamée aux Communes, à la demande du gouvernement Bourassa et du maire Drapeau, qui appréhendaient une insurrection.
Mots clésIndépendantismePolitiqueSociété
Remarques sur
le document
30e anniversaire de la Crise d'octobre
Identifiant1247724
Mise à jour 2019-03-07
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